Soigner l'hypersensibilité par la douceur (10 dessins)

 

J'étais un enfant sensible.

 

La vie m'a durci, puis épuisé et rendu malade. 

 

 

Renouer avec la douceur m'a permis de régénérer mon élan vital authentique et profond.

 

Peu de gens savent à quel point j'ai été mal en point physiquement et mentalement, pendant 5 ans en pleine vingtaine, avant de ré-émerger. J'ai retrouvé mon énergie, ma stabilité et mon étincelle créative. 

 

Voici un récit en 10 DESSINS et les clés du processus que j'ai vécu. 

 

On ne nous enseigne ça nulle part (ou presque).

 

 

Si tu manques d'énergie et d'entrain, ce texte est pour toi. 


 Par Raphaël Lavoie-Brand, au-delà du massothérapeute

 

 ***

 

La douceur est un besoin vital de l'être humain 

 

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Dans notre société de performance, on apprend à soigner l'extérieur de soi. Prendre soin des :

  • attentes,
  • projets,
  • obligations professionnelles et financières, 
  • proches,
  • image de soi, 
  • etc. 

Ce n'est pas une mauvaise chose, sauf s'il manque l'autre moitié de l'équation :  

 

La douceur est ce qui nous soigne à l'intérieur. Ce besoin est inscrit dans nos gênes. Par exemple, un bébé qui n'est pas touché avec bienveillance est à haut risque de retards développementaux importants. 

 

Savais-tu que notre système nerveux a un immense réseau de récepteurs à travers tout le corps pour être en mesure de ressentir la douceur du toucher... pour ensuite sécréter de l'ocytocine, l'hormone de l'apaisement, de la confiance et de l'amour?


Voici un très beau documentaire scientifique sur le sujet.

 

Dans un équilibre sain, une circulation continue et équitable se fait entre la douceur pour soi et le soin des autres (la performance).

 

C'est particulièrement important pour les personnes hypersensibles qui sont des éponges pour leur environnement. 

 

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Mais pour bien des personnes fatiguées, épuisées, en arrêt de travail ou autre, le dessin ressemblerait plus à ça : 

  

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Te permets-tu de récupérer avec douceur? ... Ou vis-tu sous le dictat de la performance, qui inonde ton corps de cortisol, l'hormone du stress? 

 

Est-ce que l'auto-critique te hante jusque dans tes espaces de repos les plus essentiels? 

 

Dans le déséquilibre, la pression de performance et le stress se font maître dans tous les aspects de notre vie, tant à l'extérieur qu'à l'intérieur. 

 


 

Tomber au combat 

 

J'ai vécu ça :

 

J'ai été une bête de performance pendant des années avant de m'épuiser gravement physiquement et mentalement pour ne m'en relever complètement qu'après 5 ans. 

 

J'étais comme un guerrier qui prenait chaque mission comme une bataille pour sa vie. Vu de loin, ça pouvait impressionner : « Il fait tant de choses! Il réussit bien! Qu'elle énergie! »

 

Mais j'étais sans douceur et sans soin pour moi, apeuré de ne pas réussir et j'ai laissé ma maison intérieure devenir très froide et tapissée de durs jugements envers moi-même. 

 

À peine jeune adulte dans la mi-vingtaine, je suis tombé très malade : fatigue chronique, épuisement, arrêts de travail prolongés et répétitifs, anxiété, infections chroniques, etc. Mon corps était très faible et personne ne comprenait ce que j'avais. 

 

Il m'était impossible de travailler à temps plein et mon habileté à faire un travail intellectuel était nulle en raison d'un épais brouillard mental. Même un petit boulot à temps partiel me faisait tomber au combat après quelques semaines ou mois. 

 

Mon sentiment d'identité (être reconnu, avoir sa place) s'est véritablement effondré... 

 

(Je comprendrai plus tard que ce fut une bonne chose.)

 


 

L'incompréhension

 

 

 

Je faisais face à beaucoup d'incompréhension, à commencer par moi-même qui me jugeais continuellement.

 

« Mais comment me suis-je mis dans cet embarras? »

« Ma vie est une catastrophe. »

« Je suis anormal. »

« Suis-je un malade imaginaire? » 

« Dès que j'irai mieux, il sera temps de reprendre le retard accumulé, et VITE! »

 

À chaque fois que je me poussais pour performer de nouveau, alors qu'un peu d'énergie redevenait disponible, mon corps me faisait instantanément savoir que ma santé physique et mentale était belle et bien en lambeaux malgré mon jeune âge, et malgré l'incapacité des professionnels de santé à me dire ce qui se passait exactement, et quoi en faire. 

 

« Hm... les globules blancs sont bas, on ne sait pas pourquoi. »

(Système immunitaire faible, mais pas de diagnostic connu.)

 

Alors j'ai finalement rencontré le fond du baril. Dans ce qui suit, je te parle des clés de compréhension que j'ai mentionnées au début.

 

Je les diviserai en 5 étapes dans un instant.

 


 

Prise de conscience  

 

Cette crise de santé physique et mentale a mis ma vie à l'envers de 2011 à 2016. Ce fut très long et douloureux, avec des éclaircies et de grands tunnels noirs.

 

Dans une période où je me suis trouvé particulièrement dans la noirceur, j'ai pris conscience que la seule différence, entre une personne sans-abri et moi, était que j'avais le privilège d'avoir une famille qui me soutenait. Sans eux, j'étais littéralement à la rue. 

 

Quelque chose dans mon cœur s'est ouvert. Une forme d'humilité est née sous les décombres de ma vieille identité performante. 

 

« Je ne vais pas sauver le monde. Je suis un humain avec d'autres humains. Je dois prendre soin de moi en premier. Et j'ai besoin des autres. Je dois me laisser recevoir.»

 

J'en suis aussi venu à comprendre très intimement comment des gens lumineux et pleins de potentiel peuvent en venir à vouloir cesser de vivre lors d'une grave crise de santé mentale.

 

C'est la nuit noire de l'âme. 

 


 

Donner, donner, donner

 

 

Je ne m'étais jamais vraiment laissé recevoir. Je me considérais solide et j'ai donné, donné, donné jusqu'à l'épuisement... ça te dit quelque chose? 

  

Enfant, j'avais eu l'impression d'être un petit adulte qui berçait souvent l'anxiété des autres.

 

Il fallait être fort, car si je me montrais vulnérable, je ne me sentais pas en sécurité.

 

J'ai appris à taire mes problèmes et à prendre soin de l'autre sans m'ouvrir pleinement. 

 

Lorsque je me suis rendu compte de ça jeune adulte, en thérapie, j'ai ressenti pendant des semaines une colère viscérale tellement intense. C'était sain. Je n'avais jamais senti la permission d'être en colère. 

 

J'ai vécu ma crise d'adolescence et la scission du cordon ombilical vers 25 ans... Moi qui avais été un ado si facile à vivre et compréhensif de ses parents. 

 

Cette colère saine a tracé mes limites pour la première fois.

 

Je n'en avais pas avant. J'étais incapable de dire non et je me sentais fusionné aux préoccupations de tous et toutes, avec une bonne dose d'éco-anxiété pour la situation de la planète en plus.

 

C'est comme si une nouvelle colonne vertébrale s'était installée dans mon corps. 

 


 

Défusion

 

Ma force de volonté avait maintenant des contours et ce fut la première étape de mon rétablissement : me laisser recevoir et refuser de donner continuellement. 

 

Ma colère m'a permis de commencer à ressentir de la vraie compassion pour moi, alors que j'étais si bon à en ressentir pour les autres. 

 

Pour les personnes hautement sensibles et empathiques, j'ai l'impression que le plus grand défi de vie est de devenir capable de soi-même s'offrir pleinement notre propre sensibilité... en acceptant de mettre des limites au péril de décevoir quelqu'un. 

 


 

Se relever d'une grande épreuve avec douceur


5 étapes

(avec le recul)

 

Aujourd'hui, j'ai une compréhension intime du déséquilibre qui était présent AVANT ma crise de santé physique et mentale. Alors voici la question : 

 

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Comment rétablir un équilibre interne profond pour se relever avec douceur d'une grande épreuve?

 

Voici la suite des dessins et du récit qui expliquent le processus que j'ai traversé pour retrouver

- l'équilibre,

- la santé,

- et un sens profond de contribution au monde.

  


 

Étape #1 
Protéger l'espace de douceur : Le Non 

 

On protège notre espace intérieur de quoi?

 

Des jugements extérieurs et surtout des jugements extérieurs internalisés à l'enfance (notre auto-critique, qui est apprise plutôt qu'innée). 

  

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C'est le moment de se donner la permission entière et complète de refuser, décliner, évacuer, changer, cesser, laisser aller... et faire face à la peur d'être égoïste. 

 

C'est le moment de s'avouer ce que l'on ressent dans nos tripes comme étant un Non

 

Toutes les personnes que je connais qui sont aux prises avec la dépression, l'anxiété ou l'épuisement ont une grande difficulté à dire non, donc à protéger leur élan vital personnel. 

 

Elles mettent constamment en doute leur ressenti face à leurs limites et auto-sabotent leur espace de douceur en laissant des choses malsaines gruger leur énergie de l'intérieur et de l'extérieur.

 

Sur le plan physique, le niveau de stress est trop élevé et devient toxique pour le corps. 

 

Ce type de personne - dans lequel je m'inclus - a aussi peur de blesser l'autre en refusant quelque chose, puisqu'il est généralement très empathique.

 

Le but en affirmant notre Non n'est pas de blesser, mais de respecter notre espace de douceur. 

 

Il est donc important d'apprendre à dire non avec sensibilité et compassion, tel que l'enseigne par exemple la Communication Non Violente selon le psychologue fondateur de l'approche Marshall B. Rosenberg. 

 

Parenthèse : J'ai longtemps étudié cette approche auprès de formatrices européennes et j'ai eu le plaisir de rencontrer M. Rosenberg en 2011 dans la dernière immersion intensive de 10 jours qu'il a donnée aux États-Unis avant de quitter ce monde. Beau souvenir : 

 Fin de la parenthèse. 

 

Le Non permet de respirer 

 

Notre corps inspire et expire. Il inspire pour faire entrer l'oxygène, et expire pour faire sortir le dioxyde de carbone toxique pour nos organes.

 

C'est la base de la vie.

 

Lorsque l'on ne sait jamais dire Non, c'est comme inspirer sans expirer. 

 

On ne permet pas au dioxyde de carbone intoxiquant de sortir et on ne peut plus assimiler d'oxygène frais. On s'épuise inévitablement à maintenir nos poumons gonflés... en cherchant à en faire TOUJOURS PLUS. 

 

La douceur dans nos vies permet d'expirer et de se renouveler. Le Non est ce qui permet de quitter l'inspiration pour protéger l'espace de l'expiration.

 

C'est un mouvement tout naturel duquel il ne faut pas avoir peur (même si on a une blessure d'attachement qui nous tiens collé à des choses néfastes). 

 

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Le Non devient une limite saine entre le monde extérieur et le monde intérieur. 

 

C'est aussi une limite qui freine notre auto-jugement, internalisé à l'enfance et qui nous vient de la société de performance. En fait, le pire supplice mental que vit une personne en épuisement ou en dépression provient de ses propres jugements envers elle-même.  

 

Cette étape du Non demande du soutien de personnes qui nous comprennent pour apaiser la peur de l'abandon et de la séparation, comme un.e psychothérapeute ou un groupe de soutien, mais on peut aussi trouver un certain soutien dans nos lectures, la méditation et une pratique de journaling régulière. 

 

La clé est d'apprendre à s'accueillir avec bienveillance dans l'espace inconfortable au-delà du Non, pour réaliser qu'on n'est pas seul et abandonné une fois qu'on prend son pouvoir de choisir au sérieux.  

 


 

Étape #2 
Ressentir notre Oui intérieur... mais comment?

 

Après avoir protégé l'espace intérieur avec la permission du Non, comment le réhabiter? Telle est la question! 

 

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Dans cette étape, on apprend à ressentir le Oui qui vient des profondeurs de notre ventre. Pas celui qui parle dans notre tête et qui ressemble plus à un « il faudrait que ». 

 

La pression étant moindre, notre élan vital profond peut à nouveau émerger de lui-même et ressentir ses désirs authentiques sans passer par le mental, ni la conception habituelle que l'on se fait de soi-même, par exemple : 

  • une envie de créer, toute simple,
  • un intérêt qui sort de nulle part pour quelque chose de nouveau,
  • une reconnexion avec un intérêt passé,
  • des routines de soin du corps dans la légèreté,
  • un vrai repos réparateur profond et enfin défusionné de nos inquiétudes pour les autres, 
  • etc. 

 

À ce niveau, l'approche de l'auto-compassion en pleine conscience élaborée par les chercheurs et auteurs Kristen Neff et Christopher Germer est très utile pour intégrer une nouvelle posture plus douce envers soi-même. Le livre Le piège du bonheur sur la thérapie d'acception et d'engagement est aussi très aidant, tout comme la pleine conscience, et tant d'autres approches. Il existe tant de sentiers pour se retrouver... L'important est d'en choisir un qui nous interpelle vraiment. 

  

L'équilibre du Oui et du Non 

 

Dans cette phrase, le Oui intérieur à nos réels besoins prend de l'ampleur et danse en harmonie avec la limite saine du Non.

 

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Avec le temps, cette belle équipe développe un sens beaucoup plus clair de ce qui est réellement bon pour nous. Lorsque le Oui intérieur se solidifie, une prochaine étape se dessine. 

 

Il devient alors possible de trouver un véritable Oui nourrissant à l'extérieur, c'est à dire prendre soin des autres, d'un travail ou d'une responsabilité sans s'épuiser (au contraire). 

 


 

Étape #3 
Ressentir notre Oui extérieur...

 

Graduellement, notre élan vital cherche naturellement à aller vers l'extérieur lorsqu'il y a suffisamment de douceur à l'intérieur.

 

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On peut parfois s'inquiéter de ne jamais contribuer au monde à nouveau de manière significative si on se choisit pleinement avec notre besoin de défusionner et d'enfin se reposer pour de vrai...

 

Il faut parfois entièrement quitter notre contribution au monde pour la retrouver sur des bases saines et profondes.

 

Je te donne mon exemple assez frappant : 

 

Mi-vingtaine avant de tomber très malade, tout semblait magnifique point de vue contribution et élan de jeune adulte... c'était impensable de quitter ma trajectoire :

 

  1. Je venais de commencer une maîtrise pour travailler en médiation internationale à la chaire UNESCO d'Études de la paix à l'Université de Innsbruck en Autriche, avec une généreuse bourse d'études. 
  2. J'offrais des ateliers inspirés de la Communication Non Violente (CNV) auprès de dizaines de jeunes adultes pour une fondation importante.
  3. J'étais assistant de deux formatrices certifiées en CNV en Allemagne où je vivais principalement à l'époque. 
  4. J'avais fait des séjours dans plusieurs éco-villages européens pour m'inspirer de leur fonctionnement et repenser le monde de demain. 
  5. On aurait cru que j'étais assez à l'écoute de moi, puisque je m'étais rendu auprès de Thich Nhat Hahn (de son vivant en 2010) lors d'un séjour à son monastère français Le Village des Pruniers, où il donnait ses enseignements et guidait ses marches méditatives. 

 

C'est bien beau ça, mais mon corps se vidait quand même et mon énergie chancelait dangereusement... Je n'avais aucune idée des difficultés immenses qui m'attendaient. 

 

J'ai complètement quitté cette vie, et j'ai senti le Non très clairement en moi. Les participants à mes ateliers en redemandaient et je me sentais tellement mal de refuser. L'état de ma santé m'obligeait à faire ce choix pour moi. Plus tard j'ai appris à le faire moi-même, sans tomber en épuisement. 

 

J'ai lentement accepté de plonger à l'intérieur de moi et à rencontrer ce qui dit Oui vraiment.

 

Puis, lentement, avec toute la douceur retrouvée, la vie m'a amené à me brancher sur ma source de motivation réelle, personnelle et non influencée par les conceptions extérieures et internalisées de l'enfance. 

 

J'ai à nouveau eu un élan de contribution fort, mais encadré par mon habileté à mettre des limites. Tranquillement, j'ai appris que cet élan pouvait me donner de l'énergie.

 

De là est né l'Automassage pleine conscience, et j'ai eu pour la première fois une vocation claire à mes 33 ans en pleine pandémie, après quelques années comme massothérapeute.

 

Je me sens privilégié de savoir que des centaines de personnes participent à mes séances guidées partout dans la francophonie. C'est un cadeau que de pouvoir enseigner la douceur du toucher thérapeutique pour le plus grand apaisement et relâchement simple et efficace.

 

Note à part : Si tu aimerais apprendre aussi à te créer des bulles de soin par le massage, tu peux t'informer ici, mais je continue... 

 

Je travaille maintenant avec le corps. Avec mon corps.

 

Rien de tout cela n'aurait pu être envisagé à l'avance par la pensée.

 

C'est venu du ventre. 

 

Savais-tu que le ventre est considéré comme le 2e cerveau par un nombre grandissant de chercheurs?

 


 

Étape #4 
La boussole du ventre

 

 

« Suis ton gut feeling! » dit-on. 

 

Facile à dire. 

 

Voici ce que j'en pense. 

  

On a vu que le Non est simplement la décision de passer du Oui extérieur au Oui intérieur.

 

Pour reprendre l'analogie de la respiration, ce serait le moment où les poumons sont pleins.

 

👉 On dit Non pour passer à l'expiration dans un cycle tout naturel. 

 

Alors comment savoir si mon corps (mon ventre) me dit Oui ou Non? Une compréhension concrète pour le quotidien serait bien utile pour naviguer notre vie vers de bons ports. 

 

Je suis persuadé que l'intelligence subconsciente de notre élan vital (que l'on ressent dire Oui et Non) est basée dans le ressenti silencieux du ventre.

 

Pour ma part, voici ma boussole ventrale : 

 

  1. Quand ça pétille dans mon ventre et que je sens bien mes jambes, mon élan vital me dit Oui.
  2. Quand je me sens aspiré vers l'avant avec mes yeux et mes mains, ou que j'ai les jambes molles, sans sentir clairement mon ventre et mon bassin, c'est Non. 

 

Pourquoi le ventre? Chaque personne trouve ses repères, mais le ventre est toujours central, car le stress toxique affaiblit beaucoup l'activité digestive.

 

D'autre part, les interactions sociales saines et le sentiment de sécurité intérieure sont associées à une activité optimale du nerf vague. Celui-ci innerve tous les organes digestifs et il stimule notamment les systèmes de l'immunité et de la réparation cellulaire (voir Stanley Rosenberg, Stimuler le nerf vague pour faciliter la guérison, et le podcast de l'auteur Jean-Marie Defossez sur Métamorphoses

 

J'ajouterais à cela une touche de philosophie du yoga, où les centres énergétiques (chakras) de la région du ventre sont associés à notre pouvoir de création et notre élan vital fondamental. En médecine chinoise et en Qi gong, la source profonde de l'énergie de vie est aussi dans le ventre. 

 

Apprenons à aimer nos ventres... tous les êtres humains de la Terre ont commencé leur existence en gestation au creux de cet endroit sacré.

 

Si le corps est le temple de l'âme, le ventre est le temple du corps. 

 


 

Étape #5
Un nouvel équilibre, une nouvelle vie  

 

Une danse peut à nouveau prendre place...

 

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Avec avec le temps.

En apprenant de nos « erreurs ».

En offrant un amour inconditionnel à notre besoin de douceur.

En disant Oui avec ressenti.

Et Non avec compassion. 

 

***

 

 

Et bien ça alors, tu m'as lu jusqu'ici!

 

J'imagine que ce texte ou ces dessins t'ont interpellé. 

 

J'imagine que tu fais partie de ces personnes qui savent que prendre soin de soi n'est plus optionnel... 

 

Rejoins la communauté d'apprentissage Éclore pour approfondir ton mieux-être efficacement dans ces moments d'intériorité par l'automassage en pleine conscience! 

 

 

Au plaisir, 

 

Raphaël Lavoie-Brand 

--
Au-delà du massothérapeute et formateur en automassage 
Créateur de l'approche Automassage pleine conscience 
www.eclore.ca


 
 

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Dans les médias : 

Dossier Massage Therapy Canada

Entrevue avec la Fédération québécoise des massothérapeutes

Reportage URBANIA

Collaboration : Aromathérapie et automassage (Vitalité Québec)

 

 

 

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